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Concours Bergamont Kids Cup

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Concours Kids

Le Raid Evolénard n’a bien évidemment pas oublié les kids. Grâce au soutien de Bergamont, deux enfants jusqu’à 14 qui s’inscrivent avant le 1er mai gagneront un magnifique VTT Bergamont kids!

Donc non seulement les inscriptions sont gratuites, mais en plus elles peuvent vous permettre de gagner de magnifiques prix! Il n’y a donc plus de raison d’attendre pour s’inscrire!

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Vélo TEAM 24″ kids

CHF 450,–

24″ cadre aluminium
40mm suspension
Shimano 3 x 7-vitesses

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Vélo Bergamonster 20″ kids

CHF 398,–

20″ cadre aluminium 
40mm suspension
Shimano  7-vitesses

Les prix seront remis aux gagnants le 10 juin à 15h30 lors de la cérémonie officielle! Présence obligatoire!

Inscriptions

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HellVSiid à l’assaut du Raid Evolénard en attendant le Finland Trophy

Le Raid Evolénard, c’est pas seulement des sportifs de pointe mais c’est aussi et avant tout de nombreux populaires, qui ont eux aussi de belles histoires à raconter ! Parmi eux, on retrouvera cette année sur la ligne de départ deux Valaisannes qui seront là pour se préparer pour le Finland Trophy, un Raid 100% féminin qui aura lieu du 24 au 28 janvier 2019 en Laponie. Au programme, raquette à neige, ski de fond et bien sûr fat bike. Si le sport sera forcément au cœur de cette aventure, le côté solidaire ne sera pas en reste puisque le concept de l’épreuve permet à chaque équipe de soutenir l’association de leur choix. Un beau défi en perspective que nous présentent ici Jessica Fellay et Priscilla Roh.

Crédit Photo David Boraley photography

Participer à un Raid en Laponie n’est pas forcément la première chose qui vient à l’esprit, même pour des sportifs aguerris. Comment l’idée vous est venue et qu’est-ce qui vous a séduite dans ce projet ?

Jessica va beaucoup sur les réseaux sociaux dont Instagram et c’est en tombant par hasard sur le profil de Laury Thillemann (ancienne Miss France) qu’elle a vu ses différentes photos du Finland Trophy. Le coup de foudre a été immédiat et elle s’est tout de suite renseignée sur le concept et en a fait part à Priscilla. Sa phrase, qui est d’ailleurs leur devise, fût : Siid on ne vit qu’une fois, donc départ. Ce qui nous a tout de suite séduites, c’est le mélange entre défis sportifs et soutien pour une bonne cause et tout ça dans un lieu féérique, le comble serait de voir des aurores boréales.

Le Finland Trophy, c’est cinq jours d’aventures, avec des épreuves exigeantes comme du ski de fond, de la course à pied ou du VTT, le tout dans des conditions plutôt extrêmes avec des température parfois en dessous des -20°C. Quel est votre background sportif et comment est-ce que vous vous préparez pour cet évènement ?

Nous sommes les 2 suivies par un coach sportif (Armelle Studio et Lionswill) qui vont nous faire un programme adapté entre entraînements cardio et renforcement musculaire. Nous faisons régulièrement des sorties en raquettes et avons déjà fait quelques courses. Nous nous sommes inscrites pour le Raid Evolénard où la team GX Racing dont nous faisons partie va nous donner quelques conseils. Nous allons également faire des entraînements ski de fond pour avoir une petite base car on n’en a jamais pratiqué.

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Cinquante équipes vont prendre part à ce défi et certaines participantes sont des sportives de haut niveau. De votre côté, quel sera votre objectif sur cette course ?


Notre objectif serait, dans un 1er temps d’arriver au bout du challenge, sans incidents et en prenant du plaisir. En effet, l’année passée plusieurs participantes ont dû abandonner l’aventure pour cause de blessures. C’est pour cela que nous avons déjà commencé un entraînement intensif et essayons de mettre toutes les chances de notre côté pour vivre notre aventure à 100 %.

L’esprit d’équipe et la solidarité entre coéquipières sont sans doute primordiaux dans ce genre de compétition. Est-ce que vous avez déjà eu l’occasion de participer à des courses ensemble ou ce sera une grande première ?

Oui on en a déjà fait, entre trail, courses de raquettes et courses à pied. Dont la Montheysanne course 100% féminine, qui est une association contre le cancer du sein. Il y a eu à chaque course énormément de solidarité et d’émotions qu’on se réjouit de partager ce futur raid. Voilà maintenant bientôt 10 ans qu’on se connait du coup on sait exactement trouver les bons mots pour motiver et encourager l’autre partenaire s’il y a une petite baisse de forme, ça sera notre plus grande force. Mais ça sera une grande première de participer à un raid sur 3 jours dans des conditions extrêmes.

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Dans le cadre du Finland Trophy, vous collectez des fonds pour l’association Keep a breast, l’association officielle du Raid. Est-ce que vous pouvez nous présenter cette association en quelques mots et nous en dire un peu plus sur les options à disposition des personnes qui veulent vous soutenir ?

KABE est une association à but non lucratif qui lutte contre le cancer du sein et encourage les femmes à surveiller leur poitrine. Elle a même lancé une appli Check Yourself et invite à l’autopalpation. Nous avons ouvert un compte Instagram et Facebook où nous postons régulièrement des photos de nos entraînements ainsi que le suivi de notre aventure au nom de notre Team hellVSiid. Il y aura prochainement l’ouverture d’un compte bancaire à disposition pour toutes les personnes désirant nous soutenir dans notre aventure. Nous allons par la même occasion créer des t-shirts et nous sommes en discussion pour d’autres projets. Il y aura toutes les infos en temps voulu sur nos différents comptes sur les réseaux sociaux.

Finalement la question que tout le monde se pose… D’où vient votre nom d’équipe, le Team HellVSiid ?

Alors comme tous les bons Valaisans qui se respectent notre nom de team a été inventé autour d’un apéro. Ce fût d’ailleurs un bon moment et de drôles de noms y sont sortis ! Depuis maintenant plus de 10 ans, nous nous appelons Siid tiré du film l’âge de glace et pour nous c’était important que ce nom y figure. Vu qu’il n’y aura que 5 équipes de Suisse, nous voulions représenter notre beau Valais d’où le VS et ensuite l’idée de hellVSiid, qui sonne helvétie est arrivé tout simplement et naturellement du copain à Priscilla, qui est d’ailleurs notre photographe. Il va par la même occasion nous suivre durant toute notre aventure.

Merci d’avoir bien voulu répondre à nos questions et plein succès dans cette aventure !

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Concours inscriptions précoces!

Bergamont Trailster 7.0

CHF 3’199,–

Mountain bike tout suspendu 27.5 » 

Avec 150mm de débattement, une tige de selle téléscopique, une géométrie entièrement revue, le Trailter 7.0 est le parfait VTT pour vos sorties enduro!

Plus d’infos sur :

www.bergamont.ch

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Séjour actif Bike Holiday

CHF 500.- à faire valoir sur un séjour Bike Holiday

Avec votre vélo tout terrain, partez à la découverte de deux magnifiques régions côtières: la Costa Brava et la côte Est de Sardaigne qui vous réservent des terrains variés et des sentiers exigeants. Que ce soit pour du sport extrême ou pour se faire plaisir, chacun y trouvera son compte. De plus, à la Costa Brava, des guides romands sont sur place durant des semaines spéciales pour mener les groupes francophone.

www.bike-holiday.ch

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Sac à dos Oxsitis Hydragon Pulse 7

CHF 139.-

L’HYDRAGON® Pulse™ 7L est un sac d’hydratation ultra léger qui vous permettra de transporter le matériel nécessaire pour vos sorties TRAIL/RAID/VTT. Ce sac a été pensé pour optimiser votre hydratation et votre confort. Sa légèreté et sa structure innovante, vous permettront d’aborder sereinement aussi bien vos sorties d’entraînement que vos compétitions longues distances

www.oxsitis.fr

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Les prix seront remis aux gagnants le 10 juin 2018 à 15h30 lors de la cérémonie de résultat officielle! Présence obligatoire!

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Sion2026

Osons les Jeux!

La campagne en vue de la votation sur les Jeux Olympiques est lancée et le débat fait déjà rage sur les réseaux sociaux. Partisans et opposants s’affrontent pour prédire le nombre d’emplois créés, le déficit final, l’impact à long terme ou encore le nombre de médailles que la Suisse pourrait récolter si les Jeux avaient lieu à domicile… Si à ce stade il est plutôt difficile de répondre à ces questions, il y a tout de même quelques certitudes qui ont poussé le comité du Raid Evolénard à s’engager ouvertement dans cette campagne pour soutenir la candidature Sion 2026.

Crédit Photo Sion 2026

Les Jeux Olympiques auront lieu quoi qu’il en soit en 2026

Et au vu de la candidature solide de Sion 2026, basée essentiellement sur des infrastructures existantes, avec un budget raisonnable, un impact écologique mesuré, dans le pays berceau des sports d’hiver, on se dit forcément que ce serait mieux s’ils pouvaient avoir lieu ici plutôt qu’ailleurs… et si on sait que le budget total des Jeux Olympique est de 2.4 milliards, on ne peut s’empêcher de penser que la Suisse aurait pu couvrir l’intégralité des coûts des Jeux Olympiques simplement avec l’excédent de 2.8 milliards réalisé par la Confédération en 2017. Si la Suisse n’est pas en mesure d’organiser des Jeux Olympiques, quel autre pays peut le faire ?

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Les Jeux Olympiques 2026 vont marquer un tournant

Après les excès du passé, avec des Jeux Olympiques organisés dans des stations balnéaires, des régions de montagne où tout était à construire ou dans des pays sans aucune culture des sports d’hiver, le CIO veut clairement revenir à plus de mesure. La candidature de Sion 2026 a donc une belle carte à jouer pour contribuer à ce changement via un projet rassembleur qui regroupe de nombreux cantons et qui va permettre à la Suisse d’être acteur plutôt que spectateur de cette transition.

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Les amateurs de sport doivent défendre leur position

C’est une évidence, au fil des derniers mois, entre coup de pied mal placé et autres affaires embarrassantes, les promoteurs du projet ont perdu une partie de leur crédibilité et la communication autour des Jeux peine à leur donner une image positive. Dans ce contexte c’est plus que jamais aux passionnés de sport, aux athlètes, clubs, organisations sportives de se mobiliser et de prendre la parole pour défendre un projet qui donne une réelle opportunité de redynamiser un secteur de sports d’hiver en difficulté en accélérant le renouvellement des infrastructures et qui aura sans doute aussi un impact positif sur la formation de la relève sportive en Suisse.

 

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La votation aura lieu le 10 juin…

… et c’est également ce jour-là qu’aura lieu le Raid Evolénard 2018! Le comité du Raid Evolénard veut donc tout mettre en œuvre pour pouvoir terminer cette journée sur une bonne nouvelle pour le sport suisse. Ce d’autant plus que le Raid Evolénard a désormais l’habitude d’accueillir une bonne partie de la relève nordique et alpine, des jeunes qui se lèvent chaque matin pour s’entraîner en vue de participer un jour à des Jeux Olympiques et qui rêvent déjà de pouvoir être au départ d’une des compétitions lors de Sion 2026.

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Adrien Chenaux, une saison pour confirmer son nouveau statut!

La saison dernière, Adrien Chenaux ne s’est pas seulement affirmé en tant que leader romand sur la scène du VTT marathon, mais a également démontré qu’il pouvait s’imposer face aux meilleurs suisses. Vainqueurs sur des courses prestigieuses comme le Raid Evolénard et la BerGibike, le coureur fribourgeois a également eu l’honneur de revêtir le maillot de leader aussi bien sur l’Engadin Bike Giro que sur la Garmin Bike Marathon Classics. Une saison exceptionnelle que le coureur du Team Bergamont espère bien reconduire en 2018 !

13 podiums en 29 courses!

Ton milieu de saison l’année dernière a été vraiment impressionnant, avec une 4ème place à l’Elsa Bike Trophy avant deux victoires au Raid Evolénard et à la BerGibike. Et même si tu étais un peu en retrait en fin de saison, tu étais toujours placé, avec encore une 5ème place au Grand Raid BCVs. Quel bilan tires-tu de la saison 2017?

Ma saison 2017 a juste été exceptionnelle ! Je ne m’attendais pas à de tels succès et c’est vraiment génial d’être pareillement surpris en bien. Je suis monté en puissance tout le début de saison pour atteindre un pic de forme de mi-juin à mi-juillet qui a abouti sur 4 week-end / 4 victoires. (Raid Evolénard – BerGiBike – 2ème étape de l’Engadine Bike Giro – Glèbe Bike) Un tel enchaînement arrive probablement qu’une fois dans une carrière d’un coureur de mon niveau. Puis ma 5ème place sur le Grand Raid est venue confirmer mes progrès dans la discipline et mes capacités sur de tels efforts. Il y avait de l’attente et j’ai répondu présent. Un chiffre, sur 29 jours de courses, je termine 19 fois dans le top 10 dont 13 podiums. Un signe d’une belle régularité. Cette saison 2017 est clairement une saison référence pour moi !

 

Après une saison aussi réussie, qu’est-ce que tu t’es fixé comme objectif pour 2018 et comment est-ce que tu te prépares à faire désormais partie des favoris ?

Ma saison précédente me permet de construire ma saison 2018 de manière sereine mais aussi avec une motivation supplémentaire. Je veux continuer sur la même lancée et ne pas me fixer de limites ni d’objectifs très précis. Je sais que si j’accompli à nouveau une excellente préparation et que je donne le meilleur sur les compétitions, je serai à nouveau pas loin des podiums. Maintenant, je ne me considère pas comme un favoris sur des courses avec un plateau relevé. Des coureurs professionnels comme Urs Huber, Konny Looser, Hansueli Stauffer et j’en oublie sont de très solides adversaires et ont les armes pour être quasiment toujours devant. De mon côté, en travaillant à 70% comme géomaticien, je n’ai pas le même volume d’entraînement que ces gars mais ce n’est pas une excuse, je l’utilise même comme une force. Pour tout dire, mon rôle d’outsider me convient à merveille! 

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Jamais sans son Fully…

Le passage sur un tout suspendu t’a permis de te rapprocher des meilleurs en comblant en partie tes lacunes en descente. Quel sera la clé pour continuer de progresser la saison prochaine ?

Le fait de rouler sur une « Fully » depuis l’année passée a été un réel plus pour moi. J’ai pu avoir plus de confiance dans les descentes et également bénéficier d’une meilleure récupération dans ces portions. Chaque course a ses spécificités et si on prends un parcours comme le Grand Raid ou le Raid Evolénard, c’est très discutable pour un coureur qui joue le devant du classement comme option : « Semi-rigide » ou « Fully » ? Les sensations que j’ai sur mon Bergamont Fastlane sont tels que je ne me pose pas la question ; je roule le 100% des courses avec. Je sais que j’aurai du plaisir et que je serai pas trop cassé à l’arrivée. N’est-ce pas le plus important ?!

 

Depuis l’année dernière, tu es engagé comme guide lors des stages VTT de « Bikeholiday » sur la Costa Brava en Espagne. Comment est-ce que tu arrives à intégrer ces semaines dans ta préparation ? Cet engagement comme guide est-il bénéfique pour ta saison sportive ?

 J’ai découvert le Giverola Resort, la Costa Brava et les semaines d’entraînement « Bikeholiday » l’année passée grâce à mon coéquipier Anthony Grand qui est lui aussi guide. J’ai été enchanté de l’ensemble ! Que ce soit au niveau des possibilités de parcours, de l’hébergement, du climat et de la manière dont tout cela est géré. J’ai donc pu facilement intégrer cet engagement comme guide dans ma préparation. De belles journées sur le bike à guider d’autres sportifs amateurs, un sentiment génial ! Le bénéfice le plus important dans cette démarche est mes progrès techniques sur le VTT. Le terrain est tellement joueur et varié que je n’y vois que du positif.

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« Bikeholiday », l’occasion de progresser techniquement, même pour un pro!

Est-ce que tu peux nous en dire un peu plus sur le public type qui participe à ces stages « Bikeholiday » au Giverola Resort et qu’est-ce que les participants recherchent durant ces semaines de sport au soleil en début de saison ?

Pour y être allé une fois sur place pour 3 semaines entre mars et avril 2017, je peux dire qu’il n’y a pas réellement un public type. Bien sûr, il est conseillé d’avoir une maîtrise de base du VTT et une bonne condition physique en se rendant sur place. J’y ai côtoyé différents types de sportifs : des jeunes coureurs prometteurs, de bons amateurs, des familles, … en bref, des passionnés de vélo, des personnes qui désirent progresser tant au niveau physique que technique, prendre du plaisir et profiter du bon temps. De véritables vacances sportives ! On revient généralement en Suisse en ayant fait connaissance de nouvelles personnes autour du monde du vélo et ça aussi, c’est sympa.

 

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La Costa Brava, une région parfaite pour le VTT

Tout le monde n’a sans doute pas le niveau pour te suivre. Quel type de sorties est-ce que vous effectuez, et à quel rythme ? Concrètement, comment cela se passe pour que tout  le monde y trouve son compte ?

Le programme de la semaine est très bien structuré. Le premier jour, chacun prend ses marques sur place. Le lendemain, les gens rejoignent un groupe à leurs convenances selon le rythme et le niveau des participants. Le guide est le garant que le rythme soit optimal pour tout le groupe et de revenir en milieu d’après-midi avec l’entier des participants ! En milieu de semaine, un jour est prévu pour le repos mais rien n’empêche les plus mordus de repartir à l’assaut du massif des Cadiretes. Les participants peuvent à leur convenance changer de groupes en cours de semaine dans le but de ne pas finir la semaine sur les rotules. De plus, au retour des sorties, tout est mis en place pour une récupération optimale tout comme du matériel pour le nettoyage des vélos. Quoi de mieux ensuite qu’un somptueux couché de soleil en bord de mer pour terminer la journée ?!

La Costa Brava est bien connue pour le vélo de route. Comment est-ce que la région se prête à la pratique du VTT 

Effectivement, cette région est très réputée pour les cyclistes sur route de par son bord de mer légèrement vallonné et paisible et ses cols relativement roulants. Mais le VTT autour de Giverola est à tel point génial qu’au simple faite de l’évoquer, tu as envie d’y être ! De longs singles, de belles descentes techniques, rapides, de la rocaille et très peu de goudron. Le climat est également parfait pour un camp d’entraînement d’avant saison. Je ne peux que conseiller les vététistes qui hésitent encore à descendre sur le Costa Brava de venir découvrir et réserver leur séjour avec « Bikeholiday »!

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Les nouveautés qui vont marquer la saison VTT marathon 2018

Qui dit pause hivernale dit forcément période de préparation physique, mais aussi période pour se pencher sur le calendrier et planifier les courses pour la saison à venir. Le Raid Evolénard a fait un petit tour d’horizon afin de dénicher les changements qui vous attendent pour 2018 et vous aider à faire vos choix !

 

Changement de date pour l’Elsa Bike et le Raid Evolénard

Le calendrier VTT tient parfois à peu de chose… Un tir en campagne le 10 juin sur le parcours de l’Elsa Bike a contraint le team de Chassot Concept à trouver une autre date pour leur édition 2018. La course aura finalement lieu cette année le weekend du 2-3 juin. Les organisateurs du Raid Evolénard ont profité de l’occasion pour quitter le weekend chargé du 16-17 juin, qui verra l’organisation de deux World Séries, l’Hero Dolomites et l’Alps Bike Festival pour avancer leur course d’une semaine et se placer sur un weekend bien moins chargé. La stratégie s’est déjà avérée payante, avec entre autre la présence des deux stars suisse-allemandes, Urs Huber et Christoph Sauser, de la championne belge de VTT marathon Alice Pirard et de son compatriote Frans Claes, ex numéro 1 mondial de la discipline.

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Changement de philosophie pour la Swiss Epic

La Swiss Epic s’est fait un nom durant ses quatre années d’existence et a fait la démonstration que le Valais a sa place sur la scène des courses par étape. Avec l’acquisition de la Swiss Epic par le groupe chinois Wanda, propriétaire de la série Ironmann et qui avait déjà fait l’acquisition du Cap Epic l’année dernière, cette course a la possibilité de gagner encore en notoriété. La volonté de mettre sur pied une « Epic Series » similaire aux « Ironmann series » semble bien présente et le Swiss Epic servira d’ailleurs désormais de course de qualification pour le Cap Epic. Le revers de la médaille, c’est sans doute la disparition des deux catégories courtes distances et « flow », qui permettait l’utilisation des remontées mécaniques sur certaines portions du parcours et qui donnaient un côté plus accessible à l’épreuve. Cette décision claire va renforcer le caractère « epic » de la série mais est aussi courageuse, puisque seules 82 équipes étaient inscrites sur la longue distance l’année dernière. La seule option pour prendre part à la Swiss Epic en 2018 sera donc de participer aux cinq étapes, sur 350km pour 12’000 mètres de dénivellation du 11 au 15 septembre entre Bettmeralp, Grächen et Zermatt, pour la modique somme de 3950.- qui inclu toutefois le logement, les repas et l’encadrement technique durant six jours.

 

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Une nouvelle catégorie relais sur le Grand Raid BCVs

Le Grand Raid BCVs, qui reste sans aucun doute la course la plus mythique du circuit marathon suisse et qui fera à nouveau partie de la MTB Alpine Cup propose cette année une nouvelle catégorie relais de Verbier à Grimentz. Par équipe de quatre, les participants se partageront donc l’intégralité du parcours. Une initiative qui permettra aux populaires pas suffisamment aguerris pour affronter le Pas de Lona, de participer tout de même à cette épreuve hors norme !

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La Garmin Bike Marathon Classics se tourne du côté de l’Italie

La fameuse série de courses VTT Marathon suisse accueillera cette année une nouvelle étape, l’Ortler Bike Marathon, une belle course dans le Südtirol, qui offre deux parcours à choix, de 90km pour 3000m D+ pour le parcours marathon et de 51km pour 1600m D+ pour le parcours Classic. Après la sortie de l’Elsa Bike de la série et la décision de ne pas intégrer le Raid Evolénard, la Garmin Bike Marathon Classics a donc trouvé une autre option pour se renouveler. Une décision qui ne favorise évidemment pas les romands, avec un centre de gravité de cette série s’éloigne toujours un peu plus loin en Suisse alémanique et qui rend un peu plus improbable l’entrée future d’une course romande dans la série. L’autre nouveauté présentée par la série, c’est le retour au chronométreur datasport, après une expérience peu concluante avec MSO.

 

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Les Championnats Suisses VTT marathon de retour à Einsiedeln

L’Iron-Bike Marathon va accueillir les Championnats Suisses VTT marathon le 30 septembre prochain. La finale de la Garmin Bike Marathon Classics était déjà sur les rangs en 2016 pour accueillir ces joutes dans le cadre de son vingtième anniversaire, mais les organisateurs n’étaient finalement pas parvenu à un accord avec swiss-cycling et les championnats avaient eu finalement lieu à Evolène. Ce sera la deuxième fois après 2006 que ces championnats auront lieu à Einsiedeln. A l’époque, Christoph Sauser et Petra Frieden-Henzi s’étaient imposés! Les inscriptions pour cette course, comme pour la plupart des autres marathons d’ailleurs, sont ouvertes!

A vos agendas!

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Florian Chevrier, un président tourné vers l’avenir !

Il jongle entre son boulot de médecin, les séances du Raid Evolénard et les pampers. Lui, c’est Florian Chevrier, 32 ans, qui avait rejoint le comité du Raid Evolénard il y a près de 15 ans (!) avant de reprendre la présidence il y a bientôt cinq ans.  Alors que la plupart des courses en Valais ont cédé à la morosité ambiante, lui et son équipe ont fait le pari inverse, en innovant pour continuer à exister. Et pour le moment les chiffres leur donnent raison puisque le Raid Evolénard a connu l’année dernière un record de participation. Avec des championnats d’Europe qui se profilent à l’horizon, la tendance devrait se poursuivre ces prochaines années…

 

Pour commencer est-ce que tu peux nous expliquer comment tu t’es retrouvé à cette très convoitée position de président du comité d’organisation du Raid Evolenard ?

Au terme d’une lutte acharnée bien évidemment! En réalité la transition s’est faite tout naturellement dès 2013 lorsque j’ai pris la co-présidence avec Christophe Rong, l’un des membres fondateurs de cette course. Après son départ l’année suivante j’ai repris la barre en ayant la chance de voir arriver de nouvelles personnes en complément à l’équipe déjà en place.

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La plupart des jeunes médecins ont des difficultés à venir à bout de leurs semaines de plus de 60h… Comment est-ce que tu arrives à concilier la gestion de cette course avec ton travail et ta vie de père de famille ?

Comme tout le monde, j’ai, malgré des horaires chargés, des hobby qui me permettent de m’évader quelques fois. La pratique du vélo de manière régulière n’était plus possible. En revanche l’organisation d’un évènement tel que celui-ci restait possible grâce à l’absence de délais stricts hormis le jours de la manifestation, ce qui permet de ne rien faire pour le Raid lors d’une période chargée à l’hôpital et de consacrer un peu plus de temps lorsque mes horaires sont plus calmes. L’arrivée d’un enfant en revanche amène beaucoup plus de sollicitations permanentes qui rendent plus compliqué la réalisation de ce travail. Je pense finalement que c’est en grande partie grâce à l’entourage dont je dispose, autant au sein du comité du Raid Evolénard que dans ma famille et dans le cadre de mon travail que j’arrive à concilier les trois domaines.

Vu de l’extérieur on a l’impression que le Raid Evolénard est plus dynamique que jamais… Quelles sont vos motivations ?

Le Raid Evolénard a toujours été une course phare en Suisse Romande, mais il est vrai qu’elle a connu quelques années plus difficiles il y a peu. L’arrivée de nouveaux membres au seins du comité a permis de consacrer du temps à certaines tâches qui avaient parfois été négligées récemment. La réalisation de ce travail se fait dans un cadre bénévole, sans pression particulière hormis celle de vouloir réaliser une manifestation qui plaise au plus grand nombre, rejoignant ainsi les buts édictés lors de la mise sur pied de cette course: promouvoir le sport en permettant à tous de se fixer des buts au cours de la saison, faire découvrir ou redécouvrir notre région et finalement inciter les plus jeunes à participer à des compétitions de VTT. Pour cette raison nous avons effectué des sondage d’après course nous permettant de mieux cibler les attentes de nos participants. Les principales nouveauté de ces dernières années nous ont d’ailleurs été demandées via ce biais, notamment l’ouverture d’un parcours plus court, l’avancée de l’heure de départ ou encore la baisse des prix des parcours les plus courts. Malheureusement certaines demandes restent difficilement réalisables bien que nous essayons toujours d’y trouver des solutions.

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Le Raid Evolenard accueillera les championnats d’Europe en 2021. Qu’est ce qui vous a poussé à prendre cette organisation?

En ayant été mis à l’écart de la Garmin Bike Cup en 2014, nous avons touché le fond au niveau de la participation. Au sein du comité nous avons envisagé les différentes alternatives que nous avions à disposition: mettre la clé sous le paillasson ou redynamiser la course. La situations étant alors bloquée pour entrer dans une série, nous avons discuté avec swiss cycling pour pouvoir devenir une course nationale. Dans le même temps, ils recherchaient une course pour l’organisation des championnats suisses que nous avons été enchanté d’organiser pour notre 19ème anniversaire. La situation fut semblable en 2016, nous permettant de nous inscrire une nouvelle fois dans le calendrier des spécialistes du marathon en Suisse. A la suite de cela, Swiss cycling nous a  encouragé à nous mettre sur les rangs pour organiser un événement de plus grande ampleur. De notre côté après s’être assuré d’une certaine stabilité des différents bénévoles, nous avons décidé de relever le challenge et d’organiser un événement important pour le 25ème anniversaire…les championnats du monde étant hors de prix, nous avons opté pour les championnats d’Europe permettant d’atteindre quasiment l’ensemble des meilleurs vététistes au monde et d’obtenir une excellent visibilité. Grâce à ces deux éléments nous espérons pouvoir améliorer encore notre réputation et attirer ainsi plus de populaires.

Quels vont être les plus gros défis qui vous attendent ?

Le plus gros défi sera certainement financier; avec des moyens illimités il est clair que de nombreuses améliorations auraient déjà été proposées! Le parcours ne devrait pas être fondamentalement modifié, hormis si nous trouvons une alternative à la descente de l’Etoile sur les Haudères qui est la cible de nombreuses critiques actuellement. Le choix du stade d’arrivée devra également être rediscuté avec la volonté de trouver une zone plus attractive et ayant l’ensemble des infrastructures nécessaires.

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A quels changements peut on s’attendre pour ces prochaines éditions qui vont nous amener au championnat d’Europe ?

Comme mentionné, le changement de zone d’arrivée devrait intervenir pour l’édition 2019 ou au plus tard 2020 et pourrait induire quelques changements de parcours. Le budget va également évoluer d’ici là et en fonction les animations proposées pourront être revues à la hausse.

Quels sont les objectifs à plus long terme pour le Raid Evolenard ?

Cinq ans est déjà un assez long terme non?? De manière générale il faudra encore renforcer le comité et trouver des gens motivés pour assurer la pérennité de cette manifestation! Dans tous les cas nous serions heureux d’accueillir de nouvelles force vives!

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Foto Martin Platter

Urs Huber, une saison à oublier…

Après une année 2016 exceptionnelle durant laquelle Urs Huber avait collectionné pas moins de douze victoires, le champion Zurichois n’aura pas réussi à faire aussi bien en 2017, loin de là.  Sa victoire lors de la MB race reste l’unique coup d’éclat d’une saison 2017 minée par la malchance, jusqu’à cette chute lors du Grand Raid BCVs et sa fracture de la clavicule qui l’a contraint à y mettre un terme prématurément. Dans cet interview, Urs Huber nous explique comment il a vécu cette saison et nous annonce ses objectifs pour la saison 2018, dont le Raid Evolénard fera à nouveau partie! 

Photos: Martin Platter

Ta chute lors du Grand Raid BCVs date maintenant de plus de quatre mois. Comment est-ce que tu as récupéré de ta fracture de la clavicule et comment te sens tu?

Je suis maintenant complètement remis des suites de ma blessure et je suis de retour dans mon entraînement normal pour me préparer comme chaque année  pour la prochaine saison.

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Je peux m’imaginer que c’était une période très frustrante pour toi. Au moment de ta chute, tu menais le Grand Raid, et tu étais en position d’atteindre les gros objectifs de ta saison, avec entre autre la défense de ton titre de champion suisse et la conquête de la victoire au classement de l’Alpine Cup. Comment as-tu vécu cette période ?

J’avais en effet l’impression lors du Grand Raid d’être finalement de retour au top de ma forme. Au moment de ma chute j’étais convaincu de pouvoir m’imposer.  Durant les jours qui ont suivi la chute, les douleurs étaient tellement fortes que les résultats étaient passés au second plan et mon but était simplement de retrouver la santé. Par la suite ce n’était pas si dur de manquer les courses. J’ai appris pendant cette période qu’il y a des choses plus importantes que les listes de résultats. Avec le recul, je pense même que ces moments difficiles m’ont apporté quelque chose pour le futur.

Malgré cette période difficile, tu as tout de même réalisé  une excellente performance durant cette saison, avec la victoire lors de la mythique MB-Race. Quel bilan tires-tu de cette saison?

La saison 2017 a été assez décevante. D’abord la déception du Cape Epic. Trois mois de préparation et d’entraînements intenses réduits à néant en peu de temps, sans que j’y puisse grand-chose. J’ai eu besoin de pas mal de temps pour m’en remettre. C’est seulement pour mes courses préférées en août; Ischgl, Eiger Bike, Grand Raid et pour les championnats suisses que j’ai retrouvé la motivation nécessaire pour m’entraîner en donnant chaque jour le maximum.  J’étais alors à nouveau en forme, mais malgré tout ça n’a pas marché. Des douleurs au dos lors de l’Ischgl, des problèmes techniques et un abandon lors de l’Eiger Bike et finalement la chute, cette blessure et la fin de saison lors du Grand Raid. J’ai du même coup perdu le maillot de champion suisse sans même pouvoir combattre. C’était dur et inhabituel pour moi, mais la chute a aussi été pour moi une échappatoire à cette saison chaotique. La MB-Race a été le seul point lumineux de l’année. C’était une véritable aventure, avec plus de 7’000 mètre de dénivellation dont je ne connaissais pas le moindre mètre et dix heures de course. Je me remémore forcément avec plaisir de cette épopée ;).

 

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Tu vas sans doute bientôt rendre publique ton calendrier de course 2018. Quels vont être tes gros objectifs de la saison?

Le plus important pour moi sera de pouvoir achever cette saison en bonne santé et sans devoir vivre de grosses déceptions comme celles connues lors du Cape Epic 2017. Si j’y parviens, je suis convaincu que je vais atteindre de nombreux objectifs que j’ai en vue : la victoire lors du Grand Raid, le classement général de l’Alpine Cup, le classement général de la Garmin Bike Marathon Classic, le titre de champion suisse et naturellement un Raid Evolénard couronné de succès !

Après votre victoire au Cape Epic 2016, l’édition 2017 a en effet été une grosse désillusion… Est-ce que la stratégie du Team Bulls pour l’édition 2018 est déjà arrêtée ? Est-ce que l’on verra à nouveau la paire Platt / Huber au départ?

La composition des équipes Bulls pour le Cape Epic 2018 sera décidée en fonction de la situation en début de saison et n’est pas encore déterminée.

 

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Merci et plein succès pour ta saison 2018!

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Foto Martin Platter

Les inscriptions sont ouvertes!

Cette fois ça y est, les inscriptions pour la 22ème édition du Raid Evolènard qui aura lieu le 10 juin 2018 sont ouvertes sur le site de MSO et chose assez exceptionnelle, les organisateurs ont décidé de baisser la finance d’inscription de la catégorie la plus prisée, le 35km, qui passe désormais à 40 CHF. Le Raid Evolénard est sans doute la seule course où l’inscription est meilleure marché en 2018 qu’en 1997 ! Inscrivez-vous avant que les organisateurs reviennent sur leur décision… Pour les autres catégories, pas de changement de prix, mais un changement de date puisque le Raid Evolénard se déroulera une semaine plus tôt, le 10 juin et un changement d’heure avec un départ qui sera donné à 9h00. Toutes les infos concernant les catégories et les heures de départ sont disponibles ici.

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Du Valais à l’Afrique

L’année dernière, vous aviez été nombreux à verser un don à la fondation « Le Geste Solidaire » et au final 1000 CHF avait été remis à cette association. L’expérience sera donc reconduite cette années, et le montant récolté ira cette fois pour moitié au « Geste solidaire », qui aide des familles valaisannes en difficulté, et pour moitié à la fondation « Songo », co-fondée par la légende du VTT suisse Christoph Sauser. Cette fondation qui fêtera en 2018 son dixième anniversaire offre un programme éducationnel axé autour du vélo pour les jeunes défavorisés de Stellenbosch en Afrique du Sud. Depuis 2008 elle a permis à des centaines de jeunes du bidonville de Stellenbosch d’obtenir une éducation, un travail, un avenir, et mérite votre soutien ! Le jour de la course, les maillots de la fondation Songo seront d’ailleurs également mis en vente !

 

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N’attendez donc plus et rendez-vous sur www.mso.ch pour vous inscrire !

 

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Bilan de la Garmin bike cup 2017 et programme 2018

La Garmin bike Cup a organisé vendredi dernier sa traditionnelle soirée de remise des prix autour d’une fondue. Pour les organisateurs, c’était l’occasion de récompenser les vainqueurs, de tirer le bilan de cette édition 2017 et d’annoncer le programme de la prochaine saison. Tour d’horizon en trois points !

Des habitués aux avant-postes

Au classement scratch chez les hommes, c’est Nicolas Lüthi qui remporte la série pour la quatrième fois consécutive en obtenant le maximum de points. Le neuchâtelois, qui nous confiait en début de saison douter de pouvoir remporter à nouveau le classement général, n’aura finalement pas eu beaucoup de difficultés à s’imposer. Et si il n’était pas présent lors de la cérémonie de clôture, c’est simplement parce qu’il participait au championnat du monde master de cyclocross, où il n’a pas non plus fait dans le détail, puisqu’il s’est imposé alors qu’il était parti en dernière ligne ! En deuxième place on retrouve son frère Patrick, qui devance Christophe Daniel. Chez les dames, c’est la championne sortante, Ilona Chavaillaz, qui s’impose à nouveau devant Barbara Liardet et Joanie Huguenin.

 

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Un beau milésime pour la Garmin Bike Cup 2017

Au moment de tirer le bilan de la saison, on ne peut que constater que le milieu VTT romand a vécu une magnifique édition de la Garmin Bike Cup. Avec plus de 860 coureurs au classement scratch homme et dame, la Garmin enregistre en effet sont plus haut nombre de participants. De son côté, le retour du Raid Evolénard au sein de la série s’est soldée par un succès, puisqu’en terme de participation, la manche valaisanne prend la deuxième place avec plus de 600 inscrits, derrière Ursy, qui reste à bonne distance avec plus de 800 coureurs. De manière globale la plupart des courses ont enregistré une augmentation de la participation, sans doute en bonne partie due à la bonne météo qui a accompagné la plupart des courses. Sans surprise, le Raid Evolénard et la Coupe du Chasseron, qui se déroulaient encore l’année dernière sur le même weekend sont les deux courses qui ont vu leur participation augmenter le plus significativement !

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En route vers 2018 !

Pour la saison prochaine, le programme sera quasiment identique à celui de la saison dernière. La saison débutera le 15 avril à Planeyse et se terminera à Tramelan le 9 septembre. Le changement le plus significatif est le remplacement de la  Valterbimania par la Torgonabike, qui aura lieu le 4 août. Le Valais aura ainsi droit à nouveau à deux manches de la Garmin Bike Cup !

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